Tout à fait. Puisque ces vêtements de départ nous sont imposés, autant qu’ils le soient par la logique RP du jeu même.
La société humaine est structurée par les classes : vêtements (couleur neutre) de “gueux”, de “bourgeois” et de “nobles”. Il faudrait que certaines teintes soient aléatoires pour simuler la diversité au sein d’une même “origine” (J’espère que ça ne choque personne de porter des guenilles, dans un jeu où on a quand même le droit d’arborer une cicatrice au visage).
La société militariste charr est structurée par l’appartenance aux légions : tenue de sortie (pour militaires), sobre et fonctionnelle, aux couleurs de sa légion (au pire avec le même modèle).
La société asura est plus individualiste mais au départ de sa carrière, le savant est encore marqué par son université : tenues de “gala” ou uniforme, aux couleurs de son université (comme dans certains pays du Commonwealth) (au pire avec le même modèle).
Pour les Norns, on pourrait penser à une cape en fourrure de fin d’initiation à son totem, par dessus un vêtement sobre (celui existant ?). Dans cette société de chasseurs, cela permettrait de distinguer de loin qui n’est pas encore vraiment un Norn (un peu comme les étudiants dans la société Celte).
Pour les Sylvaris, peut-être que les “accoucheurs” donnent des vêtements correspondants au cycle. Il s’agit de simple feuillages masquant la nudité des pousses, et les réconfortant en leur donnant un sentiment d’appartenance au groupe, le temps qu’ils passent avec leur mentor. Un thème de couleurs par cycle, avec la diversité des Sylvaris, ça promet de beaux camailleux.
Bien entendu, il nous faudrait supporter ces vêtements comme actuellement, jusqu’au moment où l’on pourrait s’en procurer de plus seyants ou de plus personnalisés (achat, artisanat, butin).
Et du coup, pour faire cohérent, plusieurs PNJ devraient également aller se rhabiller (les jeunes des fahrars, les pousses, les novices, les apprentis de laboratoire et même plusieurs “citoyens”-“habitants”). Je me demande dans quelle mesure cela modifierait l’atmosphère dans les villes et villages.